Adam Lewack part du constat que certains Etats se posent la question : Comment rendre le peuple meilleur ?

Une réponse possible vient d’une partie des scientifiques qui proposent des interventions sur le cerveau par diverses voies. Pour cela, ils devraient agir sur certaines idées comme le racisme, le sexisme, l’homophobie, l’écologie.

Les neuroscientifiques se penchent sur le bien et le mal, sur la conscience morale. Une autre question se pose alors: comment agir sur notre système dopaminergique et sur nos ganglions de base pour nous rendre meilleurs ?

La création d’humains qui ressemblent à des « robots moraux » peut être remise en question mais la pratique existe déjà.

D’après le livre « Angoisses urbaines » d’Adam Lewack

Après constat du caractère anxiogène de la rédaction des informations de la presse, Adam Lewack décida d’entreprendre une recherche sur les rapports entre les angoisses collectives et individuelles. Il dégagea six sphères sociales aptes à déclencher l’anxiété systémique : la santé, l’économie, la technologie, l’environnement, la violence sociale et la surveillance policière. Il souligne la discontinuité entre les manifestations collectives et individuelles.

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